25 mars 2013

Ce dont je veux me souvenir


- Que Moyen Nain voudrait, comme dans son livre, aller chercher une étoile avec sa fusée. Il pense aussi pouvoir attendre qu'elle tombe dans l'eau profonde pour la récupérer. Il voudrait bien une étoile pour lui tout seul. Pour jouer avec elle.

- Que Grand Nain sait faire les biberons de son frère et de sa soeur le matin. Mais qu'il fait semblant de faire tomber le rouleau de papier toilette par terre pour ne pas avoir à s'essuyer tout seul.

- Que Nanonaine est un hibou avec des yeux bleus à tomber et des ongles crochus qui labourent mes seins dans l'écharpe. 

- Que Micronaine s'exclame qu'elle est "A-DO-RA-BLE" avec un air tellement adorable qu'on a presque envie d'y croire.

- Que Moyen Nain me fait mourir de rire quand il répond. Du "Bien sûr Gérard" au "Oui mère", en passant par le "et que ça saute!" et le "Ooooops" quand on le décolle de sa chaise pour le punir.
Avec le Mâle, on en a des fous rires, ce qui n'arrange rien.

- Que Grand Nain n'est pas si grand, mine de rien, et qu'il a un peu la trouille d'aller au CP.

- Que Micronaine sait s'habiller toute seule et y tient, qu'elle arrive à enfiler ses chaussettes là où ses deux andouilles de frères se contentent de tendre leurs pieds en espérant qu'un esclave vienne les chausser.

- Que Moyen Nain est capable de répéter trente fois la même phrase d'affilée. Même si on lui a répondu. Tant qu'on ne craque pas.

- Que Micronaine fait des serrés cous. Très fort. 

- Que Nanonaine miaule, parfois, souvent.

- Que Grand Nain rit de bon coeur aux blagues de son frère. Et qu'il nous assure que nous n'avons pas fait un enfant, mais un clown. Et qu'il aurait été dommage de ne pas le faire.

- Que Moyen Nain pense que je ne le vois pas quand il reste immobile. Alors je joue le jeu.



- Que Micronaine sait compter jusqu'à 13. En anglais aussi. La faute à ses frères, la faute au cache-cache.

- Que Grand Nain veut devenir inventeur. De robots qui pourront garder ses enfants à lui quand il viendra en vacances chez nous. Pour qu'on soit tranquilles.

- Que Moyen Nain parle tous les jours de son anniversaire des 5 ans. 

- Que Grand Nain aime beaucoup visiter les églises, il trouve ça grand et beau et voudrait en savoir plus sur ce fameux Jésus depuis qu'il a vu une copie de la Piéta de Michel-Ange à Trêves. 

- Que Moyen Nain, lui, a une vidéo de Jésus qui est mort dans les bras de sa mère si on veut la voir. Qu'on se le dise. 

- Que Grand Nain aime prendre des bains chauds sans les petits. Parce que les petits font pipi dans l'eau.

- Que Micronaine aime les bébés noirs. Elle en a trois : bébé noir (bien sur), tout petit bébé noir (qui est plus petit) et Baby (elle est bilingue).

- Que Moyen Nain n'aime plus le poulet en ce mois de mars. Mais peut-être le re-aimera t-il en avril?

- Que Grand Nain adore se regarder dans le miroir. Et se faire des grimaces. 

- Que Nanonaine fait des sourires étonnants. Et qu'elle commence à regarder son mobile avec un air intelligent (ou presque).

- Que Micronaine répète tout ce que ses frères disent. Même s'ils lui disent d'arrêter de répéter. Et qu'elle trouve cela très drôle.

- Que Grand Nain allume toujours sa petite lumière le soir pour bouquiner dans son lit. Mais qu'il éteint au premier avertissement quand même.

- Que Moyen Nain appelle l'oiseau rouge d'Angry Birds Felix. Angry Birds est donc devenu "le Jeu de Felix".

- Que Moyen Nain aime encore Cars. Qu'il connaît le nom de toute les voitures. De Cars 1. Et de Cars 2.

- Que Micronaine est un vrai putois bipolaire: elle pleure, râle, chouine et éclate de rire. Terribeul two nous voilà.

- Que je suis fatiguée mais heureuse. Qu'ils me font rire et qu'ils m'épuisent.



Je veux me souvenir de tout cela.
Et de bien plus encore.

21 mars 2013

Témoignage : Je l'aimais déjà tellement

Me voilà devant mon ordinateur à tenter de poser quelques mots d'introduction pour un texte qui m'a bouleversée.
Parce qu'il est bien écrit, certainement, et même très bien écrit.
Parce qu'il dit les choses.
Parce que quand je l'ai lu, chère E. j'ai eu envie de venir, de te serrer fort et de te dire que tu n'y pouvais rien. Je ne peux pas te dire que tu as fait le bon ou le mauvais choix. Je peux juste te dire que tu as fait ce que tu pouvais au moment où tu l'as fait.
Je peux juste te dire qu'il y aura d'autres choix à faire et qu'ils seront fait le coeur bien plus léger.
Je peux juste te dire que l'important c'est de savoir que tu as été assez forte et assez courageuse pour savoir l'écrire.

Je peux juste te dire que rien de ce que je vais dire ne changera grand chose.


C'est un deuil à faire et peu importe ceux qui disent que ce n'était rien.
Dans nos imaginaires ce n'est jamais rien.
Avorter, ce n'est jamais rien.

Même si on n'a pas le choix. Même si c'est mieux. Même s'il le faut.
Il y a des choses qu'on fait avec la trouille au ventre et les larmes qui coulent.
Il y a des choses qu'on regarde se faire avec un sentiment de perte et d'abandon.

Il m'a touché ce texte parce que je suis mère et que je sais.
Je sais que cet amour là il naît bien trop vite.
Mais je sais aussi qu'il revient à chaque fois.
Aussi fort.


Je vous laisse lire ce texte qui, je le précise pour celles qui tenteraient d'en faire un débat pour ou contre l'ivg, n'est absolument pas écrit en ce sens. L'ivg est un des droits les plus importants octroyés aux femmes et je serai prête à descendre à poil dans la rue pour le défendre (dirait mon amie Marie). 


On parle là de ce qu'on laisse.
On parle là de ceux qu'on laisse.
Ceux qui ne seront jamais ailleurs que dans nos têtes.




Je l'aimais déjà tellement

Moins de 25 ans, un poste plus qu'acceptable dans une agence en marketing parisienne, un parcours fabuleux, une assurance détestable, une indépendance financière et une réputation largement honorable dans le milieu. Cette liste est à peu de choses près le portrait qu'on pourrait faire de moi s'il s'agissait de me transformer en personnage de roman. Mais comme dans beaucoup de romans, et certainement les meilleurs, ce qu'on apprend du protagoniste dans les premières pages n'est absolument pas ce qui fait l'essence du personnage. 
Malheureusement, nous sommes loin d'être dans un roman et la suite de ma vie n'aura pas la chance d'être rythmée par l'imagination fertile et habile d'un écrivain de talent. 

Au quotidien et en face des personnes que je fréquente tant dans le milieu personnel que professionnel, j'enfilais mon bel habit d'assurance en toutes occasions. Bonjour, regardez moi, je réussis tout ce que je fais et vous avez certainement raison si vous me haïssez. Je me pavane avec ma liste de réussites et de projets fabuleux, mais ce n'est jamais assez. Cette insatisfaction pour des choses que d'autres peinent à atteindre n'est pas d'une grande aide pour me faire des amis. S'ils savaient. S'ils savaient comme j'étais malheureuse, et comme je souffre aujourd'hui. Non je ne souffre pas, je n'en ai même pas le courage. 

Il y a quelques temps de cela, je fus officiellement malade. Ce mal a nécessité une petite intervention chirurgicale, non rien de grave, je serai bientôt remise ! C'est ce que je racontais. Les jours qui ont suivi, j'expliquais alors que j'étais faible à cause de maux de ventre qui me fatiguaient. Je pense que cela a marché, peut-être se sont-ils doutés de quelque chose mais personne n'a osé me le dire. Je venais d'avorter de ma première grossesse. 

L'avortement n'est pas un exercice de style banal. On n'avorte pas pour la performance, on n'avorte pas non plus pour le plaisir, et encore moins par confort. Le confort, ce mensonge public. 
Je n'avais pas encore de retard dans mes menstruations, mais je me doutais déjà que quelque chose ne tournait pas bien rond dans mon corps. Le problème étant justement que cela tournait extrêmement bien rond. Ma poitrine, mon appétit, mes humeurs, les choses changeaient et je sentais que cela allait être annonciateur d'une heureuse nouvelle. 31 jours sans règles, ça suffit je vais à la pharmacie. Huit euro et une nuit plus tard, je sors des toilettes et j'annonce d'une voix neutre (mais sourire en coin) que je suis enceinte. 
Il n'y croit pas, se lève, me demande si je suis certaine. Oui je suis certaine, j'étais certaine avant de pisser sur ce fichu bâtonnet, et j'avais raison puisque j'en étais déjà à ma huitième semaine de grossesse. Les causes de ma grossesse non programmée - c'est le seul terme adapté que j'ai trouvé -, je pense qu'on s'en fout. Bordel, je vais être maman ! Ce n'était pas prévu, mais pourquoi pas après tout ? Je peux bien faire ça ! Mais nous sommes deux dans cette affaire et les événements font que je suis allée le matin même chez le médecin généraliste. C'est là qu'il a fallu faire une demande d'interruption volontaire de grossesse. Une fois mes deux prises de sang réalisées et mes sept jours de réflexion passés, j'étais dans le cabinet en ville du service de gynécologie d'une clinique du coin. La décision était prise, nous n'allions pas garder l'oeuf. C'est ainsi qu'ils disent. Cet oeuf fait déjà presque deux centimètres, et les premiers battements de coeur ont commencé depuis bien longtemps. Les délais sont bons, la taille de l'oeuf permet encore de procéder à une intervention chimique. Si j'accepte, je prends les premiers cachets immédiatement, et le seconde dose dans la clinique deux jours plus tard. 
J'accepte, je signe les papiers d'usage, je préviens mon employeur de mon absence en demeurant discrète sur les raisons et en lui promettant un certificat d'hospitalisation à mon retour. Cela semble si facile. 

Le médecin m'informe que les premiers cachets pris devant lui ont pour effet de stopper le processus de grossesse. Les seconds vont quant à eux m'aider à expulser l'oeuf et on me promet que ce ne sera pas plus douloureux que d'importantes règles. Je suis alors partie en patiente confiante mais en femme absolument paniquée. C'était si simple, c'était déjà fini ? Deux bonbons avalés et je n'étais déjà plus maman ? Les sept jours de réflexion ont été terribles. Pendant ce temps, bien que nous avions pris une décision commune, j'avais le sentiment d'avoir la main forcée et je continuais de ressentir mon corps évoluer. Mes mains se posaient par reflexe sur mon ventre pour reprendre mon calme dans les moments où je me disais que j'allais craquer. C'est très difficile, surtout lorsqu'on travaille en open space et qu'il s'agit de demeurer neutre. Ce qui m'arrive ne concerne pas mes collègues, mais merde pourquoi devrais-je le cacher ? Tu parles d'une évolution des moeurs, on flippe toujours autant. Mon compagnon quant à lui tenait bon, il était fort à ma place ou plutôt, il était fort pour moi. Tandis que j'étais sur le point de flancher à chaque minute, il mimait d'être absolument fort pour me soutenir et m'aider à ne pas lâcher prise. Seulement la simple idée que tout cela s'arrête aussi simplement me rendait folle. Je ne voulais pas que cela s'arrête, laissez nous ! Laissez moi, mon bébé et moi, laissez nous nous épanouir et vivre des moments qui ne seront que les nôtres. J'emmerde l'ambition, j'emmerde ma carrière, j'emmerde les gens, c'est mon enfant et je l'aime déjà tellement. 

Complications. Les premiers cachets me font trop d'effet et les saignements commencent trop tôt. Je fais une importante hemmoragie non prévue au bureau et je tombe dans les pommes. Je me sens faible, je suis paniquée, d'où vient tout ce sang, de moi ? Les pompiers sont arrivés et je pars pour les urgences obstétriques, ce qui me force à informer une partie de ma hiérarchie de ma situation pour qu'il ne s'inquiètent pas trop pour ma santé. J'allais bien, je n'étais pas malade. L'hemmoragie finit par s'arrêter au bout de plusieurs heures et je peux rentrer chez moi, j'ai rendez-vous le lendemain matin à la clinique. 

C'est avec difficulté que je me déplace. Mes forces m'ont quittée et mon manque d'appétit fait que je suis très certainement en hypoglycémie. Le personnel de la clinique est des plus adorable avec moi et les infirmières sont à ma disposition si j'ai besoin de parler. La seconde dose de cachets en main, je les avale avec une grimace et j'attends. Assise sur mon lit, j'attends. 

Les heures et les jours qui ont suivi ont très certainement été parmi les pires de ma vie. En terme de douleurs, je pense que ce sont les pires, et en terme mental, je suis certaine que ce sont les pires. 
Plusieurs jours de pertes à base de sang et de caillots régulièrement rythmés par des contractions ont fini d'achever mon esprit. J'ai senti, physiquement, mon enfant me quitter. Je n'étais pas malade, et ce n'est pas une fausse couche, c'est moi qui ai provoqué cela. La grossesse se passait d'ailleurs excellemment bien, pourquoi faut-il tout gâcher ? Je ne veux pas perdre mon bébé, rendez-le moi, on s'en fout de ma carrière, pourquoi faire ? Il y a de moi qui part ! 

Malheureusement, j'avais terriblement raison. Au fur et à mesure que le sang partait, j'ai senti tout l'amour qui me contenait partir avec lui. Je n'ai plus la force d'aimer encore, l'amour qu'il y avait en moi m'a quittée et je n'y peux malheureusement pas grand chose. J'avais beaucoup pleuré, et aujourd'hui je ne pleure plus. Je n'ai que des larmes sèches et un espace vide à la place du coeur. Ne me demandez pas comment je vais, je n'en ai aucune idée. Demande moi encore comment je vais, je ne ferai que hocher la tête. 

Il ne me reste dorénavant que la patience, et l'espoir que mon coeur me revienne. 

20 mars 2013

En passant

Entre deux tétées, entre deux "MAIS MAGNEZ VOUS BORDAYL", entre deux coups d'oeil à l'horloge de la cuisine qui ne cesse de me confirmer que oui, nous sommes (encore) en retard.

Entre deux rigolades à la vue de Moyen Nain qui danse avec un slip sur la tête.
Entre deux hurlements de Micronaine qui a, au choix, fait tomber un de ses bébés par terre ou perdu SON Flash Mac Queen sous un lit.
Entre deux nuits plus ou moins correctes.

Je prends un peu de temps pour vous donner en vrac quelques nouvelles de moi, des autres, de ce qui me plaît et qui rythme mon quotidien en ce moment.


1) L'écharpe

Ceux qui sont venus en dédicace ont pu le constater, je vis avec ma fille en koala. On est bien. Elle reflute contre moi (du verbe "fais chier, mon nain a du reflux) et dort tranquillement. Elle est apaisée et je peux empoigner les trois autres sans soucis, les porter, les nourrir, les câliner et leur dire "attention, il y a ta soeur là dedans".



Bref, s'il aura fallu attendre quatre nains pour que je sache enfin nouer et utiliser l'écharpe, cela vaut vraiment le coup.
Je suis entrain de préparer un article pour Avis de Mamans sur les moyens de portage dès la naissance (je vous mettrai ça en lien rapidement) mais pour le moment, j'avoue, JPMBB m'a réconciliée avec les écharpes. Merci donc car c'est un cadal de naissance de leur part et j'en suis très touchée puisque je l'utilise plus que de raison et que cela sauve mon quotidien.


2) Les cadals de naissances

Parlons-en.
Je n'ai pas pu remercier tout le monde encore, parce que le temps me manque et que dès que j'entame un article, un nain atterrit sur mes genoux.
Il me faut donc remercier de vif-clavier (cela remplace la vive voix):

- Anne Catherine du site Pileac qui m'a fait un magnifique protège carnet de santé Hibou. Il fait son petit effet chez la pédiatre.




- Madame Maman Shopping qui m'a fait une belle surprise en m'envoyant une très jolie toise à nains et une belle boîte à lingettes étoilées (que j'aime d'amour). Un site que je vous invite à découvrir, on y vend des trucs super (comme le parapluie à parent pour les poussettes ou encore les trucs à rehausser les lits des bébés à reflux).

- Une lectrice anonyme qui m'a fait un joli plaisir chez Le Petit Zèbre. Elle saura ravie d'apprendre que son adorable bon m'aura permis d'offrir un chouette luminaire pour la nouvelle chambre des FILLES.

- Catherine, d'Arthus and Co, pour cette merveilleuse lampe. Un achat que je conseille à toutes les mamans qui veulent changer leur nain la nuit sans lui envoyer les spots d'Hollywood en pleine face. De l'autre côté, un miroir qui occupe Micronaine pendant les changes.



- Sandrine pour le hibou lumineux. Et l'accroche tétine, bénit soit-il.

- Blandine, pour les jolies choses faites à la main, que je montre en disant "t'as vu, les gens sont doués quand même".

- Nathalie pour la combinaison My Senses dans laquelle Nano se blottit


- Maylis pour le joli chapeau que Nano met toujours, toujours et encore...

- Céline, pour la veilleuse lapin qui ne me quitte pas. Je pense à toi toutes les nuits vers trois heures...

- Barbara pour la petite poupée brodée Nano qui est à côté d'elle dans son berceau cododo ;)


- Oh, et j'allais oublier Philips Avent qui m'a envoyé une bien jolie surprise ce matin :



Ils ne le savaient pas mais mon tire lait manuel a eu un accident de nains et était cassé.
Bref, cette petite attention tombe à pic, merci infiniment car c'est mon tire-lait manuel fétiche.


Bien sur, il y a les cadeaux des amis, que je ne vais pas citer ici, mais qui se reconnaîtront, les hiboux en folie sur mes murs et les pyjamas tout doux, le nuage rose qui endort Nano et les petites attentions sucrées pour petits et grands.
Merci infiniment.


3) Mon boulot...

J'ai pris un peu de temps pour moi.
Pour nous.
Pour eux.

J'ai rédigé quelques textes et quelques tests.
J'ai terminé d'écrire un guide qui s'intitulera Voyager avec ses enfants.
J'ai peu dormi.
J'ai pas mal crié.

J'ai repoussé les courses, le ménage, la vaisselle.
J'ai regardé des conneries à la télé.
J'ai tenté de la reposer mille fois dans son lit.

4) Ah oui, au fait

Ce mois ci, j'ai oublié de vous parler de la Mum Box de ce mois ci pour cause de journées un peu tendues de la couche.

Je répare mon erreur en vous la présentant parce qu'elle est (encore une fois mais j'avoue je suis conquise d'avance) très chouette.


Elle comprend :


Sans oublier un Mum Magnet et un Mum Book rédigé par le docteur Eve Balzamo… … Soit plus de 60€ TTC** de valeur produits pour seulement 30€ TTC ! (** prix de vente conseillés)



En bref, toujours le même système : aucun abonnement (youpi) et vous pouvez prendre si vous en avez besoin. Pas d'obligation mais perso, je l'ai envoyée en cadal de naissance à une amie qui vient d'avoir le premier car j'ai trouvé que le package Mioume Mioume était sympa (bavoir, assiette, tasse, cuillère et biberon).
Pour la commander, rendez vous sur le site.



Et je vous laisse sur une image d'une partie de cache-cache entre les nains...

trouvéééééééé


17 mars 2013

Mon livre aux chiottes (ou pire)

Naaaan.
Ne balancez pas mon livre...j'ai sacrifié trop de siestes pour l'écrire alors par respect pour le sommeil parental, tu te dois de le garder précieusement. Ou de le revendre d'occasion mais reste discret, ça me rend triste, snif.

Nan, si j'ai choisi un titre aussi glamour, aussi sexy et aussi racoleur, c'est juste histoire de lancer un petit concours pour détendre l’atmosphère hivernale.

Ce concours s'intitule donc "Mon livre aux chiottes", un peu de légèreté ne fait pas de mal.
Pour les prudes, on peut l'intituler "Mon livre partout où le parent peut lire" si vous préférez.

Le principe est simple : prenez en photo mon livre là dans un endroit incongru, surprenant  débile et drôle. Émouvant ça marche aussi, je suis une fille.
Attention, ceux qui n'ont pas mon livre peuvent jouer aussi (je n'ai pas pris le melon à ce point là) en prenant une photo d'un livre type Tchoupi ou Petit Ours Brun, ou un Marc Levy. En bref, un livre qu'on peut poser un peu n'importe où. Le but c'est d'être décalé, je vous fait confiance!

genre cette photo qui me fait baver, envoyée sur mon mur par une adorable lectrice 


Vous les postez sur mon mur Facebook (peu importe si c'est sur Marie Perarnau ou la page fan) et si vous n'avez pas Facebook, vous me l'envoyez par email, je me chargerai du transfert.

Pas question de likes ou de trucs comme ça, non non, je choisirai avec mes deux partenaires les gagnantes de ce concours. Oui, car il y aura 3 gagnantes. Non 4, allez, je suis sympa.

Le premier partenaire de ce concours débile est une chouette boutique super chouette car elle est à Metz (mais pas que), Garageland. Tenue par une très jolie maman de quatre enfants (les plus jolies, soit dit en passant), elle a accepté de partenariser (si si ça se dit) ce concours magnifique.
Elle offre donc un lot comprenant


Une fringue nainesque (body OU tee-shirt en fonction de l'âge de votre nain) à aller choisir par ici pour les tee-shirts ou par là pour les bodys + une boîte de pansements + une boîte de thé "Be a better parent" (ça marche, je vous JURE). Choisissez juste votre body ou tee-shirt les p'tits gars.

Bref, en gros, le lot Garageland, ça donne ça :



Le deuxième partenaire, je ne la présente plus puisqu'il s'agit de mon amie Catherine d'Arthus & Co, ma boutique d'amour qui vous offre une bouillotte Hibou, en hommage à Nanonaine.
Le second lot est donc une bouillotte Hibou au choix, allez donc la choisir par ici.


Et pour les deux derniers lots, comme je m'aime infiniment, j'offrirais deux ouvrages de mon mirifique livre.
Oui, je sais, je suis magnanime.



Bon, je ne sais pas si vous avez tout pigé donc je récapitule:

- On poste une photo de mon livre (ou d'un autre livre hein) dans une situation ou dans un lieu incongru et marrant sur mon mur Facebook (ou par mail à mamanstestent @gmail.com)
La première gagnante remportera le lot de son choix et ensuite les trois autres auront le choix entre ce qu'il reste. Bien sur la dernière se tapera le lot de consolation = mon livre.

- Côté liens pour poster vos photos, voilà la page où les poster : https://www.facebook.com/MariedeMamanstestent

et voilà le lien vers les deux pages fans des partenaires :

Garageland

Arthus and Co

Vous avez jusqu'au 23 mars du coup pour vous faire plaisir et nous faire rire.

Le 23 mars, le Grand et Impitoyable Jury sélectionnera 4 photos gagnantes qui seront publiées ici.

A vos bouquins!!!



13 mars 2013

L'anniversaire des quatre ans (le nainiversaire)


Il y a peu de temps, Moyen Nain a eu quatre ans.
Micronaine vous préciserait que NON, c'est MA ANNIVERSAIRE en hurlant, mais en vrai, c'est mon moyen, mon deuxième, qui a eu quatre ans.
Cet article n’a pas pour but de vous faire pleurer en vous racontant avec des trémolos dans les mots à quel point le temps passe vite.
Que nenni.

Cet article a pour mission de vous raconter comment se passe un anniversairepour un enfant de quatre ans. Vous ne trouverez pas ici de bons conseils d’organisation, puisque j’ai déjà écrit un petit article à ce sujet chez Avis de Mamans. Donc, pour celles qui veulent savoir comment on organise un anniversaire pour un nain de 4 ans, côté lieu, côté matériel et côté animations, c’est par ici que ça se passe.



Ici, je vous propose de visualiser comment se déroule véritablement un anniversaire d’enfant.


Mise en place :
Il est 14h et les invités du nain arrivent à 15h. Multi angoisse, elle sait qu’ils ne seront que 5 mais ajoutés à ses trois nains pourvus de jambes et d’une voix criarde, cela fait tout de même huit nains à gérer dans un appartement. Muni d’une salle de jeux, certes, mais un appartement tout de même.
Huit nains.

Tout le matériel est prêt, Multi a eu l’intelligence (ou un instinct de survie) de le commander sur un site dédié aux anniversaires. Elle a sorti les gobelets Jake et les Pirates du Pays Imaginaires puisque Moyen Nain est dans sa phase pirate entrecoupée de crises Cars et d’intermèdes dinosauriens (oui ça se dit).

Les bonbons sont vidés dans des jolis bols de couleurs, ça fait tout de même plus chouette que des tupperwares a-t-elle dit au Mâle, et Multi en grignote quelques un tout en installant les boissons sucrées en bout de table. Les kilos de grossesse attendront.
Le gâteau ?

Un moule château fort qui a permis à Multi de faire un gâteau au yaourt en forme de château fort. Mais un château légèrement attaqué qui risque de s’effondrer sur les côtés (probablement sujet à une attaque ennemie) et Multi stabilise les murs en collant des crocodiles sous les murailles.

Un playmobil qui monte la garde dans une des tourelles, quelques smarties et hop, le tour est joué, on dirait même qu’elle y a passé du temps.
Le Mâle ricane en passant devant le gâteau et pioche quelques fraises tagada.

-        Pourquoi tu prends des bonbons nases comme ça ?
-        Comme quoi ?
-        Comme les fraises-là, c’est un peu nase… et les crocos, c’est super nase.. ça ne pique même pas. Pourquoi tu n’as pas pris les rouleaux qui arrachent la tronche ?
-        Bin parce qu’ils ont quatre ans.
-        Ah ouais. Ouais, c’est sûr.


Les nains, quant à eux, sont surexcités.
Normal, il y a cinq de leurs congénères qui viennent dans leur maison à eux que c’est leur maison quoi. Super. Emouvant.

Ça y est, il est 14h50 et les premiers invités commencent à arriver.
Hum Hum, on avait dit 15h, on sent que certains parents sont pressés de se débarrasser de leurs adorables nains.
C’est marrant d’ailleurs, quand on y pense, parce que les adultes invités ont souvent un bon quart d’heure de retard chez leurs hôtes (voire une bonne demie-heure parfois me dit le Mâle, je ne me sens pas visée du tout) alors que les nains EUX, n’ont JAMAIS de retard. Etrange.

Bref, ils arrivent et Multi les accueille avec un sourire légèrement crispé. Ils arrivent et disent poliment bonjour en tendant leur cadal, cadal que Moyen Nain s’empresse d’arracher des mains de son ami (ami ?) sans même lui accorder un regard. Quelle courtoisie ! Quelle bienséance !
Multi tente d’excuser son rejeton mais le parent a déjà enlevé le manteau et les chaussures de son nain et est limite en train de déguerpir dans l’escalier en hurlant un « Vous avez mon numéro si souci – Amuse-toi bien mon chéri !! ».

Multi imagine la maman d’Alicia sautillant d’aise en descendant les marches de l’immeuble et même entamant une danse de la liberté, soutien-gorge au vent, en regagnant sa voiture, heureuse, tout simplement heureuse d’avoir trois heures de garde d’enfants gratuite.
A charge de revanche, bien sur.

Multi referme la porte de l’appartement sur les nains invités qui ont déjà renversé toutes les caisses Mikéa des nains. Gloups. Ne pas stresser.
Elle prévient que l’on attend encore le petit Victor avant de commencer mais personne ne l’écoute puisque chacun trouve la chambre des nains à son goût.
Normal, les jouets des autres sont toujours palpitants. Moyen Nain pavane mais garde tout de même sa petite valisette avec ses voitures de Cars contre son cœur, il y a des choses comme ça, il ne faut pas déconner.

Micronaine, quant à elle, putoise (du verbe « faire son putois ») et agresse deux mignonnes invitées charmantes = non bruyantes.
En effet, ces deux mécréantes tentent de s’emparer des bébés de Micronaine pour les habiller et les promener. Ô sacrilège ultime !
Multi tente de lui faire prêter au moins un bébé à chaque invitée puisque Micronaine en a juste six et que belle-maman en a offert un couple de jumeaux moches, mais que nenni, plutôt mourir asphyxiée par sa propre couche que de céder un seul bébé à l’ennemi.
Micronaine campe sur ses positions, serre les six bras de plastiques et les têtes contre elle, et répète inlassablement (avec gémissements lancinants) que ce sont ses « bébés à moua ». Le concept de prêt, inconnu.

Les deux adorables invitées se rabattent donc sur la maison de la famille Sylvanian pour faire évoluer des familles de chats et de lapins dans un environnement plutôt charmant. Elles s’emparent donc des petits personnages qui, soit dit entre nous,  coûtent vraiment un bras, à croire qu’ils sont fait dans de la vraie peau de chat, et commencent à jouer. Evidemment, Micronaine lâche TOUS ses enfants (oui, elle est assez sanguine) et se précipite pour arracher les petits animaux en hurlant « A MOUA LES PETIMALINS ». Voilà, voilà, Multi sent que cette petite après-midi d’anniversaire va être charmante.

Il ne manque plus que le petit Victor et les festivités peuvent commencer.
Les ballons pirates indiquant le lieu de la fête ont explosé – 5 arrêts cardiaques pour Multi- et les nains trépignent en reniflant l’odeur des tagada (le nain a l’odorat très développé en matière de bonbons).

Ah, ça y est, ça sonne à la porte et c’est la famille du petit Victor qui l’emmène. Son papa précise qu’ils sont en retard à cause de ce petit boulet de Victor (Multi hoche la tête, elle connaît ça) qui avait enfermé le chat dans le congélateur (Multi se promet de ne plus inviter ce psychopathe l’an prochain).

-        Hin hin (rire gêné), ce n’est pas très bien ça Victor, allez viens, on va enlever le manteau et on va aller jouer.
-        D’accord Madame. Ah, vous avez un chien ? (il repère la baballe dégueulasse du toutou dans la main de Micronaine)
-        Ha oui mon petit Victor, mais mon congélateur est bien trop petit…

Ça y est, c’est parti, ils sont tous là.
Le Mâle et Multi ont élaboré un programme d’enfer ne laissant aucune place à la bagarre, à la râlerie et au regardage de télévision.

15h15 : Maquillage et déguisement pour ceux qui le veulent

→ Personne ne veut.
Multi s’inquiète et essaie de booster les nains. Il ne faut pas que son activité tombe à l’eau. Elle demande au Mâle de venir donner l’exemple en le maquillant en pirate. Le Mâle rechigne qu’il a un vrai métier et qu’il ne faudrait pas qu’il soit orné d’une fausse cicatrice sur la joue le lendemain. Multi vérifie que son kit de maquillage se nettoie à l’eau et attaque le visage du Mâle. Pensant trouver un mode d’emploi dans le kit, elle ne s’était pas inquiétée. Devant l’absence de toute indication, elle improvise. Bon, le Mâle est assez réussi. Et les autres nains sont motivés du coup, ouf.
Au bout d’une demi-heure, Multi a donc chez elle des nains hideux colorés d’un maquillage mal installé, de princesses dégénérées et de pirates bourrés (et un peu flippants). Bah, ça ira bien.
Moyen Nain pleure, il ne veut pas être moche. Tu as raison le nain, c’est ton anniversaire après tout.

15h45 : La Pinata

La Pinata, c’est marrant. C’est une sorte de sac en papier mâché très solide que l’on remplit de petits lots et de bonbons au préalable et que les enfants doivent taper avec un bâton s’ils veulent voir son contenu se répandre au sol.
Multi, toujours dans le thème pirate, a choisi le modèle « coffre au trésor ».
Il ne reste plus qu’à accrocher la Pinata et à bander les yeux des nains pour corser un peu l’affaire. Bon. Il ne reste plus qu’à l’accrocher.
Voilà.
Où accroche-t-on une Pinata ?

-        Sur Google je tombe sur le forum Entraide parents anniversaires et ça dit qu’il faut l’accrocher à une branche d’arbre préférentiellement
-        Sont cons ou quoi, et s’il fait -12 dehors ?
-        Bin, ils ne disent pas !
-        Je vais l’accrocher à la poutre…
-        Les nains mesurent à peine 1 mètre
-        Bon, je vais la tenir alors.
-        Et ils vont frapper les yeux bandés avec une batte de base ball une pinata que tu vas tenir à bout de bras ???
-        Bin oui, tu as une autre idée ?
-        Non. Au moins, on ne risquera pas d’en faire un cinquième…


Et voilà donc les nains qui, à tour de rôle, tentent de détruire une Pinata robuste à l’aide d’une batte de base ball. Le Mâle, joueur, remonte la Pinata quand les nains tapent. Les nains ricanent (sauf celui qui galère les yeux bandés) et on alterne un peu histoire que tous les nains passent et se ridiculisent.
On aime assez.


16h : la Pinata n'est toujours pas fendue. Du tout. C’est du solide en fait ces trucs là.
Le Mâle décide d’abréger les souffrances de cette pauvre Pinata et lui assène le coup de grâce. Ah. Aucun effet.
Multi ricane et les nains en profitent pour faire de l’humour :
-        Bin alors, c’est trop dur ?
-        Hé Papa, t’as oublié tes musk ?
-        Huhuhuhu (Multi)

Après quelques coups de battes bien placés, la Pinata livre ses trésors aux nains qui se ruent sur les bonbons comme s’ils n’avaient pas mangés depuis 15 jours. On dirait des biquettes qui ont entendu le bruit du sachet de pop corn.

Quelques bonbons plus tard, les nains commencent à s’échauffer et veulent zouer. Victor traîne autour de la télé avec des petites voitures et Multi sent le Mâle craindre pour l’écran.
Nous suggérons alors une petite sortie dans la cour. Comme nous sommes en plein hiver, adieu chassse au trésor en extérieur. Et comme les nains sont ravis d’aller faire du vélo et de la trottinette par -12°, le Mâle les invite à rejoindre la cour extérieure.

Il tente de les enfermer dehors puis se souvient que ces nains sont sous sa responsabilité.

16h30 : les nains aux joues rouges et aux doigts gelés rentrent à la maison. Victor a poussé la mignonne petite naine qui avait osé passé trop près de lui et son collant est tout niqué. Charmant ce Victor qui réclame de « bouffer le gatal car il a la dalle ».

16H35 : puisque Victor a la dalle, nous servons le gatal.
Le château  fait son petit effet. Micronaine pleure car c’est MON ANNIVERSAIRE A MOUA JE VOULAIS UN GATOKITTY. 
Mais sinon, les autres nains sont ravis.
On chante en français. Ok
On chante en anglais. Jean-Michel Yaourt.

On souffle de la bave sur les bougies.
Multi fait signe au Mâle de prendre des photos.
Le Mâle prend des photos sur lesquelles Moyen Nain a toujours l’air nouille, il tire la langue et ferme les yeux. En revanche Mylène, à côté de lui, prend des poses de princesse. Happy Birthday Mylène.

Les parts de gâteau sont dans les assiettes et les nains mordent deux fois dedans avant de se ruer sur les bonbons.
Multi fait un sourire triomphant au Mâle.

Moyen Nain ouvre ses cadeaux :
-un puzzle, mouais pas mal
- un puzzle Cars ? Super
- des robots dans une arène ? Génialissime
- une tasse Cars ? Exceptionnel

Moyen Nain est ravi et maintenant il voudrait bien que tout le monde se casse pour jouer tranquille.
Multi aussi.

Elle jette un coup d’œil à la table dévastée et éponge le jus de raisin de Victor qui finalement a décrété que c’était dégueulasse puisque ce n’était pas du Coca. Il y a du gâteau pour 15 jours.

Il est 17h.
L’heure des jeux calmes.
Enfin…

Elle a concocté un atelier Fais ton bracelet avec les lettres de ton prénom.
Splendide, ça fonctionne.

Elle a concocté un atelier « Jeu de société ». Splendide, ils sont tous super mauvais joueurs et Grand Nain fait la gueule parce qu’il ne veut pas prêter son Docteur « Mamoule » aux petits.

Micronaine quant à elle, a accepté de prêter ses bébés moches mais uniquement sous surveillance.

Le tout nous amène doucement jusqu’à l’heure des parents…qui retrouvent des nains tranquillement assis par terre, maquillés comme des zombies, en train de jouer à des jeux de faux nains.
Merveilleux.

Multi est trempée de sueur après cette après midi et il lui reste tout à ranger.
Le Mâle engueule Victor pour la trentième fois puisqu’il saute en chaussures sur le lit parental.

Le chien regarde partir ses petits invités avec tristesse, il avait trouvé un ami dog-lover qui lui envoyait la baballe.

Moyen Nain est ravi de mettre tout le monde dehors, se force à dire merci et referme la porte en disant « Bon, enfin tranquille ! »

 A qui le dis-tu le Nain...



Note de l’auteur :

Pour celles et ceux qui souhaiteraient des petites aides à l’anniversaire, je vous ai dégoté ça : 



Sabrina qui vous offre 15% sur son site spécial Fêtes de Nains avec le code MTFETEMANIA sur son site : http://www.fetemania.com/ 


Et Karine qui vous a concocté quelques chasses au trésor et kit d’anniversaires par ici : http://www.123jouez.fr 

Dont une chasse au trésor gratuite : http://www.123jouez.fr/gratuit_jeu.html

N’hésitez pas à partager bons plans et idées de jeux sans oublier vos ratés. J’aime encore pas mal de marrer en lisant ce qui vous est arrivé (hé hé hé).


11 mars 2013

Le Bachelor. Ah non, le Barbichelor



STOP!!

Ne continue pas ta lecture.
Ne clique pas sur Lire la suite.

Till the Cat, mon ami félin, et moi-même, avons préparé une petite parodie de notre programme télévisé du moment, le Bachelor.
Né d'un délire twitteresque, né d'une amitié bloggesque, voilà le résultat, écrit par moi et photographié par lui, entre nos nains/miniatures à gérer...

Le début est à lire chez Till, par ici.



Quant à la fin, elle se trouve ici.

A tout de suite....

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